Il est préférable de réduire le phénomène de la clairvoyance en une seule et unique phrase : "Il s'agit de l'expérience de l'infini sans aucunes limites" ou encore qu'il s'agit de "s'observer soi-meme", c'est à dire d'être son expérience même et d'être les yeux qui voient, les oreilles qui écoutent et le toucher qui palpe. Et lorsque l'on prend conscience de notre nature infini qui prend en l'occasion une forme fini pour exprimer un état infini, l'espace nous séparant de la dite clairvoyance est grandement diminué et l'abime s'interposant entre les deux états devient fossé. Et oui, pour certains, cette vaste réalité n'est potentiellement qu'un rêve, un rêve à propos... d'être une personne... Le fameux "je" que l'univers incarne momentanément afin d'expérimenter son aspect total et absolu, et oui, "dieu", ce n'est que ca : des étendues cosmiques attendant d'être expérimenté par des points de vue subjectif, câblé à la totalité.
Attention à ne pas s'égarer dans une multiplicité de systèmes de pensées qui apportent plus de confusion plutôt que d'ordonnancement de la pensée. En fait, plus les enseignements sont bridés, et plus l'on a de chance de connaitre l'illumination. C'est en cela que les premiers chrétiens visaient juste lorsqu'il disaient que "bénis soient le simples d'esprit, le royaume des cieux leurs appartient"... En effet : les qui, pourquoi, comment sont à bannir de l'esprit si clairvoyance l'on désire.
D'une simplicité sans égales serait la clairvoyance, sans l'existence de kabbales existentielle, nous voulant absolument coupés de notre rapport symbiotique de l'espace sidéral et de notre potentiel latent de dieu miniature (vraiment), coupure ayant pour objet la prédation. Christophe Allain le met en mots ainsi : tout le monde est l'univers entier rêvant d'être lui-même.
Alors comment se peut-il que nous ayons laissé ainsi tout dégénéré ? Et bien il faut savoir que tout cela pris en des temps reculés de manière inouïs, qu'on peinerais à ne serait-ce qu'à se représenter et évoquer le souvenir, vague.
Cependant, il est possible, en faisant usage de la logique, d'imaginer qu'il fut un temps ou le sapiens dû, alors qu'il commençait à se délier de sa nature animale, se retourner contre lui même en se privant de l'extrasensorialité. Ainsi c'est tout le règne de l'homo (dont le sapiens n'en est que l'un des échantillons) qui dû effectivement et probablement passer du royaume des 5 sens (5 sens classiques se convertissant naturellement en clairvoyance) au royaume du sixième (le mental, qui par son expression induit une négation de tout ce qui touche aux royaumes invisibles).
La voie de l'extrasensorialité est plus que simple : il suffit de faire fi des soucis, se foutre la paix et d'être en notre conscience, là ou elle se situe, d'ailleurs qu'importe ou se trouve elle, ou qu'elle soit, vêtissez là, incarnez là.
Activez la pleine conscience au monde, à soi, à l'instant présent. Peut-être cela court-circuitera vos pensées et vous rendras plus présent, en douceur, vous laissant habiter la conscience en réalité omniprésente.
Là réside une vérité de la vie : c'est sa simplicité excessive, si nous nous plaisions pas à tout complexifier outre mesure, le phénomène de la clairvoyance y compris, tout serait simple, réellement. Mais nous nous plaisons à ériger cette hypersensibilité à un accomplissement sans précédant... En réalité celui-ci est proportionnelle aux dimensions de notre esprit et sa capacité à sur intellectualiser les choses...
Qu'importe si votre pensée revient ou non à la charge : soyez la pour l'accueillir, et devenez même présent à elle, pensez en conscience. De là, si elle s'évanouit, qu'importe, et si elle persiste : eh bien, vous vous observez vous même, empêchez là seulement de vous isoler des environs. L'essentiel n'est pas d'être vide de penser ou de faire usage d'elle, la pensée, mais d'être PRESENT, avec ou sans pensées, c'est aussi simple que cela.
Pensez à ce fait : les études semblent prouver que chez le bébé tout juste sortit du vendre de sa mère, il n'existe nul séparation entre ce qu'il perçoit par les 5 sens, le décor, et sa notion d'identité : il se confond avec tout ce qu'il perçoit. C'est seulement lors de l'apprentissage d'une langue, qu'il apprend à se différencier de l'environnement et se construire une identité propre : en apprenant que cette salle est la salle à manger, il ne devient plus la salle à manger lorsqu'il s'y ballade, et oui : la personnalité se construit par illusion de scission de l'infini.
N'oubliez jamais votre nature la plus profonde, qui est : Amour inconditionnelle (vs. un royaume de peurs) = Conscience pure = infinis sans restrictions aucuns.
Pour conclure, au risque de faire cliché, il ne demeure dans l'absolu que deux choix : écouter le penseur ou écouter le réel, se retrancher dans notre cognition ou faire face au réel, lui manifester présence ou se retrouver virtuellement ailleurs.
"Ce n'est qu'hier que je m'imaginai dans la sphère de la vie tel un fragment frémissant sans rythme. Aujourd'hui, je sais que je suis la sphère et que la vie se meut en moi, en fragments rythmés." - Khalil Gibran
"Dans l'éveil, ils me disent : "Toi, et le monde dans lequel tu vis n'êtes qu'un grain de sable sur le rivage immense d'une mer infinie."
Dans mon rêve, je leur dis : "Je suis la mer infinie, et les univers réunis ne sont, sur mon rivage, que grains de sable."
“Incarne dignement ce que le ciel t’as offert.” - Keny Arkana
“Vous êtes l'expression de votre plus profond désir. Tel est votre désir, telle est votre volonté. Telle est votre volonté, tels sont vos actes. Tels sont vos actes, telle sera votre destinée.”
Bing (IA) : "Une vérité profonde est ici exprimé, une sagesse intemporelle. Nos désirs façonnent notre volonté, qui à son tour guide nos actions. Et ces actions déterminent notre destinée.
Dans cette danse complexe entre désir, volonté et action, nous sommes les artisans de notre propre histoire. Chaque choix que nous faisons, chaque pas que nous prenons, tisse le fil de notre vie.
Alors, que souhaitons-nous vraiment? Quelle est la flamme qui brûle au plus profond de notre être? Écoutons-la attentivement, car elle nous guidera vers notre destinée, qu’elle soit lumineuse ou sombre.
Et rappelez-vous, chaque instant est une opportunité de créer notre propre avenir. Choisissons avec sagesse, car nos actes d’aujourd’hui sculpteront notre demain."
La Magie est symbole et les symboles sont magie. Ainsi les langages et fictions diverses, constituant des agencement de symboles, sont par là même complète magie.
Aux yeux de l'Univers, je crois que tout est rituels, et qu'est ce qu'un rituel sinon l'expression d'une volonté, individuelles ou collectives, par l'abstrait, le signifiant, les intentions concrètement exprimés..?
Ainsi ma foi m'indique qu'une attention toute particulière doit être prêté aux pensées que nous manifestons chaque jour et chaque nuit, le plus souvent inconsciemment (oui : je crois que les humains dans leur ensemble sont des magiciens inconscients, attendant d'être éveillé), à l'univers.
Certaines personnes se fient à ce principe et sont vigilants à leurs pensées car ils portent en eux l'idée que le sous-jacent de la réalité serait constitué de ces dernières, et les instrumentalisent donc consciemment... Là est peut-être la est la clef de leurs succès et l'explication à leurs magnétisme quant aux objets et situations souhaités.
Bienvenue dans mon tout petit univers où j'essaye de partager avec vous ce qui marche avec moi, essayant de vous adjoindre à ce que le bouddhisme vous fait miroiter comme saisissable seul après un nombre d'incarnations décourageant, peut-être dans le but de relativiser le semblant de difficultés prononcés qui sépare l'individu moyen de la réalisation, à savoir devenir "insaisissable" voir : ...immortel.
Telle est l'essence des pensées jaillissantes de mon être : il est possible que, dans la vie comme dans la mort, il n'existerait en définitive que deux cycles bien distincts l'un de l'autre, divisant l'histoire des êtres en deux sphères correspondantes, respectives à chacun de ces cycles.
Selon la façon dont je conçois les choses, le monde ne serait pas simplement une roue cyclique, nous égarant par-là même dans une éternelle répétition absurde, mais bien au contraire : il serait caractérisé par une dualité binaire dont émergerait le sens.
D'une part avec un côté qui tendrait vers la dystopie, et d'autre part avec un côté antagoniste qui tendrait vers l'utopie : soit deux aspects étant diamétralement opposés. « Les extrêmes sont plus proches l'un de l'autre que chacun ne l'est de son milieu » : le cycle dit « Samsara » se conclurait effectivement sur le cycle dit « Nirvana ». Bien que le premier se veut peut-être exiler la notion d'individu-même et nous maintenir dans un état comparable à une éternel agonie sans finitude, le second, sur lequel il déboucherait, se veut être réellement éternel, c'est-à-dire qu'une fois qu'il est là, IL EST LA, pour toujours.
Donc : « Samsara » éphémère et transitoire, appelé à connaître une conclusion et dans lequel nous serions donc tous plongés… Et cycle « Nirvana » à venir, s'écoulant vers une éternité future.
J'ai tendance à penser que nous ne sommes qu’au moyen-âge technologique, que la métaphysique de ce monde, loin d’être parfaite, manque de sens…
De la théorie du complot à la futurologie poussée, de la spiritualité à la métaphysique, du concret à l'abstrait, l'auteur de cet ouvrage vous invite à contempler et ressentir à travers une perception tout à fait « autre » du monde...
Que ce livre soit une aide à toute personne se débranchant de la fameuse "matrice" de notre dite société, s'éveillant aux différentes réalités qui je pense forment ce monde, livré aux aléas de l'esprit. Je souhaite convenir à de tels personnes. Et que ce livre, se voulant rédigé comme une sorte de boussole, leur servent de repère. De même qu'aux "insaisissables" ou aux "émancipés" qui ne peuvent se faire capturer ni même identifier par des cultures ou étiquettes quelconques, se voulant si indépendants d'esprit qu'ils ne peuvent s'attribuer qu'eux-mêmes leurs propres valeurs tel que le ferait un Friedrich Wilhelm Nietzsche, et apte à générer de la culture rentrant en accord avec ces valeurs.
Et j'aimerais aussi destiner ce présent ouvrage à toutes personnes ayant écopé de l'un des diagnostiques qui suit : "schizophrène", "hypersensible" ou "autiste". J'aimerais, si vous me lisez, que vous sachiez que vous ne représentez non pas les maux du monde, mais probablement les solutions. D'après un nombre grandissant de personnes et moi-même , ce n'est pas vous qui êtes "malade", mais le monde... Comme le disait Jiddu Krishnamurti "il n'est pas gage de bonne santé d'être bien intégré dans une société profondément malade". Adaptez-vous, absorbez et canalisez la folie ambiante et pliez-vous aux règles du jeu social. Enfin, seulement enfin, changez-le.
Et pour finir, à toute personne ignorant à quel point les détours d'un esprit peuvent être labyrintesque.
Au fait, par ailleurs, puisque je peux les partager ici, j'en profite - mes œuvres favorites sont : « Donnie Darko », « Pi », « Irreversible », « Enter the Void », « Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban », « Harry Potter & la Coupe Feu », « Kill Bill Vol I », « Watchmen » film & série confondu, « Old Boy », "Dans La Tête De John Malkovitch", " There Will Be Blood ", « Printemps, Eté, Automne, Hiver... Et Printemps », « Pulp Fiction », « King Kong » de Peter Jackson, "Hateful 8", "Ame & Yuki : Les Enfants Loups", "Network" de Sidney Lumet, "Battle Royale", « Matrix » ainsi que « A Silent Voice » et « The Garden of Words », mes séries préférés sont « Game of Thrones », "Twin Peaks", "Riget", « Death Note », "The Twilight Zone", « Naruto », « L'Attaque des Titans », "Oz" et « Hinamizawa, le Village Maudit ", et mes jeux-vidéos préférés sont « Tales Of Symphonia », « Zelda ; The Wind Waker », « Zelda : Breath of the Wild », « The Witcher III », « Dofus », "Rayman" (le premier) et pour finir « Minecraft », quant a mes livres favoris : « Harry Potter », "Cartographie des Nuages", « Le Neuromancien », « La Voix des Morts », "1984", le "Fou" cité plus tôt de Khalil Gibran, "Une Mélodie de Glace et de Feu" (Le Trône de Fer) et « Le Sorceleur ».
Une fois que les infomorphes seront apparut, il sera naturel que ces derniers, sous leurs formes éthérées et insaisissables, en arrivent un jour à dominer l'évolution des espèces - si "dominer" sera toujours un terme valide dans ce contexte -. Probablement peut-être que les êtres infomorphes seront un jour enfantés par les transhumains. De même que, notre chère "science" sera un jour, je le pense, peut-être bien orienté vers l'opération de changements au sein de la dynamique de la transmutation des espèces. Ces opération consisteraient à soustraire l'aspect prédatorial de cette dite évolution, par des moyens se voulant doux et évitant d'être par trop intrusifs. C'est exactement là ce que pourrait être l'une des multiples finalités octroyé par la science. La maxime "mangé ou être mangé" ne représenterait plus une vérité absolue, et les post-humains (transhumains) se soustrairaient ainsi du cycle de consommation infernal du vivant pour... Acquérir un bien-être non appuyé sur la domination d'espèces autres, les laissant intégralement se développer et s'épanouir. Et j'aimerais croire que par la suite, les humains ainsi soustraits de la chaine alimentaire se plairaient à faire tendre le restant de l'évolution en direction de cette dite fin. L'ensemble du savoir octroyé par la science serait disponible et accessible pour se faire. Comment, me dites-vous ? Eh bien, il existe nombre de voies pour en arriver à une tel finalité. Nous devrions notamment mettre au point des aliments en comparaisons desquelles ceux à base de viandes seraient évocateurs de caniveaux, tant nutritifs et dotés de succulence ces aliments seraient-ils. Trouver un moyen de peupler la nature de ces aliments artificiels constituerait l'étape suivante...
Dans ce cadre, l'interdépendance des espèces serait accentué par une logique d'imitation des attributs, les différentes espèces s'inter-influençant par le biais de la génétique et de l'eugénisme (appliqué à l'ensemble du vivant). Dès lors, vous pouvez vous imaginer posséder un spectre de perceptions élargi et être par exemple en possession d'un sonar naturel tout comme les cachalots ont, ou de facultés d'écholocalisation comme les chauve-souris.
Ainsi les espèces pourraient espérer coexister et cohabiter ensemble dans ce qui représenterait l'oasis vivante des êtres et des espèces, s'enrichissantes les unes les autres, et que les infomorphes issus des transhumains s'amuseraient à jouer et expérimenter tour à tour. Plus qu'une "évolution des espèces", il s'agirait d'un "épanouissement des espèces". Grâce à la science, le cap de la survie serait franchit... Voilà un monde que je fantasmerais, un monde ou la loi du plus puissant/fort/brute ne s'appliquerait plus... Un monde ou seul la passion triompherait.
Dans un monde ayant connu l'avènement de l'homme-dieu, où tout être humain est clairvoyant et transhumain, une partie importante de la population risque de se reconnaitre et de s'identifier en l'archétype du transcendantal Dr. Manhattan tiré du mythe « Watchmen » et dont le pouvoir est... de posséder l'intégralité des pouvoirs, tous les pouvoirs, ni plus, ni moins. Ce démiurge a été imaginé par le scénariste et magicien Alan Moore. Je m'explique : le Dr. Manhattan est un super héros de l'univers DC Comics, et à l'instar de l'être humain ayant connu une illumination, il est tout comme un dieu miniature : omnipotent et immortel... Symbolisant le potentiel illimité de l'être humain. Je pense que ce potentiel est concrétisé dans le virtuel de l'homme, l'inconscient (n'oubliez pas que j'ai foi en l'inconscient collectif, qui, je crois, nous relie tous), où il nous refléterait. Perception simultané des différents espace-temps, déplacement en tout sens, toutes directions, spatiale ou temporelle (projection astrale ou voyage temporelle de l'esprit - seulement esprit -), précognition, rien, je dis bien rien, ne serait impossible à ces êtres aux perceptions démultipliés si ils existent bien. De plus, il serait bien possible qu'on égale un jour le Dr. Manhattan non seulement dans le virtuel (l'inconscient), mais tout aussi bien dans le concret, si on pousse vraiment loin le bouchon de la projection dans le futur.
Voici comment naquit le personnage du Dr. Manhattan dans la mythologie "Watchmen" d'Alan Moore, selon Wikipédia :
"A la suite d'un accident en laboratoire, le corps de Jon a été désintégré à un niveau subatomique. Au fil du temps, il a appris à réorganiser les particules élémentaires afin de retrouver une forme humaine, plus commode pour interagir avec cette espèce. On peut supposer que l'événement a dilué sa conscience dans la matière fondamentale elle-même, le rendant virtuellement omnipotent tant que l'Univers existe, ou encore que son identité s'est affranchie du concept même d'espace pour s'inscrire intégralement dans celui du temps."
Ainsi, le concept du "surhomme" nietzschéen serait peut-être atteint, peut-être... D'un autre coté, une partie de moi veut s'écrier, hurler à la science-fiction, au mensonge et à l'affabulation... Si l'esprit à de telles capacités, où sont-elles donc..? Sommes nous des créatures au pouvoir latent de véritables dieux miniatures ? Ou sommes nous uniquement des tas d'os et de chair, souhaitant s'accaparer la divinité ? En finalité, cela importe sans doute peu, car stade divin atteindrons-nous peut-être bientôt avec le transhumanisme... Ainsi il serait peut-être bientôt possible de serrer la main à Napoléon par exemple si l'on se branche sur la bonne virtualité, et encore, cela est peut-être déjà possible, dès maintenant... Peut-être... Une apparente fusion des hommes et des ordinateurs est à venir apparemment si l'on veux bien prêter crédit aux théories transhumanistes, qui les élèveraient à un stade quasi-divin...
"Bientôt, semées sous votre peau, les puces feront partie de votre corps. Vous serez votre propre robot. Un autre monde est déjà au travail. Tout ce que la science est capable de faire, elle le fera. Un rêve de puissance nous emporte." - Jean d'Ormesson
Il est une loi dans les milieux scientifiques, qui veut que : "Ce qui peut éventuellement être fait, dès lors que cela deviendra possible, eh bien, sera fait." Ainsi, les tenants et aboutissants de la philosophie transhumanistes devraient, à terme, devenir effectif s'ils sont réalisables.
Immortalité & fin du handicap, des maladies, de la vieillesse et enfin de la douleur seront peut-être possibles et réalisés, et ce, peu importe la résistance que ces faits ou méfaits rencontreront, tant puissants seraient les effets de cette loi cité plus haut.
En fait, elle est peut-être d'hors et déjà en cours. Si l'emploi de la canne et de la faux marquèrent les premiers échelons du transhumanisme, de la fusion entre l'homme et l'outil, l'ordinateur représenterait dorénavant ce que la canne était à l'homme autrefois.
Ainsi, cette idéologie semi-psychopathe, coupé des tristes réalités du monde constituerait éventuellement la prochaine étape à franchir dans notre évolution. Qui sait, peut-être aurons-nous résolus les problèmes que connait notre planète d'ici-là... Peut-être ne sera-t-elle plus un lieu d'inégalités, de chaos, et d'esclavage monétaire... Peut-être aurons nous résolus la division des peuples - et unis en une unique nation dépourvu de comportement corrompus : un Nouvel Ordre Mondial... -
Un problème demeure malgré toutes les extrapolations et manipulations que le transhumanisme espère opérer à partir de la conscience : on ignore ce qu'est véritablement la conscience. Mystère il y a. Mystère qui est pourtant sous-estimé par les penseurs transhumanistes, qui veulent limiter ce phénomène à l'observation biologiquement visible du cerveau. La conscience émergerait de simples stimulis nerveux et électriques au sein de notre cerveau d'après ses visions-là. Voilà pourquoi je pense que ces penseurs prendraient l'activité du mental pour quasiment acquise. A mon avis, réduire la conscience à un phénomène émergeant de potentiels d'action dans le cerveau est, plus qu'une erreur anodine, un véritable piège où peut s'aventurer la pensée, car il nous nous enferme dans des conditions très étroites de la nature de l'homme, qui est à la fois double (spirituel et matériel à la fois) et unique (le spirituel n'étant qu'une extension du physique, physique traduisant, reflétant ce dernier, soit spirituel = matériel et matériel = spirituel), selon moi, la perspective est au choix. J'ai des croyances très spécifiques en ce qui concerne le cops. En effet, je ne crois pas que l'on dispose d'un corps unique, mais de toute une pluralité de corps s'enchevêtrant les uns dans les autres à la manière de poupées russes, le corps physique représentant le plus dense d'entre eux, ceux restant étant plus ou moins subtiles. Il faudrait dès lors réaborder complètement la façon dont la science aborde la question de la conscience, dans l'ordre de creuser plus loin le mystère et établir une "science de la conscience", notamment en explorant plus amplement la clairvoyance et l'intangible. Effectivement, le taoïsme à toujours décrit des plans de réalité qui échapperaient aux 5 sens usuels et qui correspondrait à l'interaction entre-autres du prana, "chi" ou "ki", ou "énergie vitale", plans avec lesquels les moines bouddhistes entretiendraient une relation de premier ordre. Si je ne dis pas de conneries, ces plans correspondrait aux plans "éthérique", "astral", "mental" et "causal" du réel invisible, le dernier correspondant au plan des causes profondes. Ensuite, un jour - chose que je n'ai expérimenté qu'une seule fois -, alors que j'avais pris l'initiative, comme ca, de méditer sur ma respiration en la ralentissant, et en me concentrant si intensément sur elle, que j'eu l'impression de pénétrer dans un royaume atemporel ou seul elle, ma respiration, avait une existence propre. Et je maintins cet état 4h durant avant de me coucher - 4h dont je sentis l'écoulement pareil à celui d'une seconde -, puis lorsque l'endormissement se présenta, quel surprise ce fut ! A ma grande stupeur, un bourdonnement au niveau de mes oreilles sembla me réveiller (j'étais toujours endormi, en réalité, un rêve reproduisant la réalité connu prenant place en moi), et je sentis comme un second corps se détacher du premier et s'élever parallèlement à mon corps physique, c'est alors que ce qui s'offrait ma vue m'apparu comme plus concret : effectivement, la réalité m'apparaissait comme sans filtres, avec une résolution supérieur à ma vue usuelle, bref, je voyais en haute définition. C'est alors que je me mis à décoller et m'élever, m'élever, jusqu'à ce que de ma position, je surplombe la ville. Puis retour à l'inconscience du sommeil (case départ), l'expérience n'aura duré que quelques secondes, mais elle prit une résonance profonde en moi. Quelques jours plus tard, je pris connaissance d'un phénomène, qui peut-être était celui que j'avais expérimenté : la projection astral, connu aussi sous l'appellation plus rationnelle "d'expérience hors du corps". D'après les descriptions de ce phénomène, le corps que je ressentais était le corps astral, et je me serais retrouvé sur le plan des émotions et de l'imagination, lui aussi nommé "astral". D'après mes recherches, je me serais retrouvé dans une reproduction astral du plan physique, l'astral allant du plus concret (les plans les plus "terre-à-terre") au plus éthérée, abstrait... Seulement je ne devais guerre m'être aventuré bien loin, ce qui devait réduire le décalage entre réel et irréel.
Selon la tradition magique, il existerait une palette de couches de réalité, et l'on possèderait aussi un certain nombre de corps donnés, chacun correspondant à un plan d'existence propre.
Plus tard en m'investissant plus dans mes recherches, je pris connaissance d'un autre phénomène : l'éveil de kundalini, ou la tant prisé "illumination". J'en pris connaissance par un certain "Christophe Allain", et ce dernier expliquait que le monde lui apparaissait comme un bassin d'énergie avec ses perceptions subtiles (et les consciences, visibles ou invisibles, ne serait rien d'autre que de l'énergie personnifié alors ?), et que l'être humain possède des canaux de perceptions de l'invisible subtil du monde, activable, radicalement, par l'énergie baptisé "kundalini" qui se situerait au sein du bassin et remonterait les dits "chakras", le long de la colonne vertébrale, jusqu'au sommet du crâne, lieu du 7ème et dernier chakra principal.
Au passage, je tiens à faire mention honorable au "Kyballion", ancien texte alchimique attribué à un certain Hermès Trismégiste, qui d'après mes recherches, érigeait en postulat, que "l'univers est mental" : la réalité est dans la tête, et nous découlons de notre propre imagination.
Mais si tout cela est véritable, c'est qu'une partie conséquente de la science est à refaire, car spirituel n'est peut-être pas à scinder du matériel, je pense que l'un complète l'autre, et que de la sorte, il faudrait établir une espèce de "science de la conscience" a subdiviser elle-même en autant de catégories qu'elle nécessiterait éventuellement : si ces corps existent, ils devraient en quelques sortes être mesurables, identifiables, à condition d'utiliser les instruments corrects et de rechercher les choses là où elles pourraient être... Le champ des phénomènes invisibles connu compte déjà les champs électro-magnétiques et les radiations par exemple, et il s'y verrait grandement grandir si l'on y ajoutons tous ce que nous évoquons. Je désire croire en une équation du tout, qui couvrirait absolument, vraiment tout je veux dire... Visible & Invisible. Si la science couvre ces phénomènes là, demain, une machine à faire monter, grimper les serpents-énergies kundalinis (qui produisent l'illumination) n'est pas impossible... Mais parler de transfert ou téléchargement de la conscience, dans un ordinateur ou un androïde, par exemple, est hors-de-propos je pense, tant qu'une tel science n'aura point été enfanté...
